Wow, le temps passe trop vite!
Ok, j'ai vraiment un air honteux. Si vous pouviez voir mon visage en ce moment, vous verriez quelqu'un de sincèrement gêné. Je vous promets d'être plus assidu et je ne le suis pas du tout. Mais, (attention, il y a un mais) je ne vous abandonne pas. Je reviens pour vous donner un long résumé de ce qui m'a tenu occupé lors du dernier mois. Ça peut même servir de liste pour des cadeaux de Noël. Voyez comme je suis pratique aujourd'hui!
Prenez une pause-pipi, ça pourrait être long... Allez-y, je vais vous attendre. Je ne suis pas pressé.
Lectures
J'ai lu l'autobiographie du chanteur de Eels, Mark Oliver Everett ou E pour les intimes. Intitulé Things the GrandchildrenShould Know. Je savais qu'il n'avait pas eu une vie facile, mais à ce point. Disons que je comprends beaucoup mieux ce qui se cache derrière les paroles et la mélancolie de ses chansons.
J'ai aussi lu (et relu par amusement) Stuff White People Like. Vous pouvez aller voir le blogue ici. C'est vraiment amusant à quel point on peut être totalement prévisibles et cliché. Vous allez vous reconnaître et ça va vous faire peur.
Mon trésor de la dernière semaine est 75 Years of DC Comics chez Taschen. Une mine d'or d'informations dans un livre format géant de plus de 700 pages couleurs. Lignes de temps, historique de l'entreprise, biographie des éditeurs, artistes, scripteurs et personnes influentes. Et on arrête le tout en 2010. Complet, fascinant, une véritable bible. On ne laisse strictement rien de côté.
J'ai aussi lu un grand classique fortement recommandé par mon amie, Si par une nuit d'hiver un voyageur d'Italo Calvino. Je n'avais jamais lu un auteur écrire d'une façon aussi géniale. L'idée du roman gigogne, un roman dans un roman et en même temps, c'est nous, le lecteur, le personnage principal. Déroutant, touchant à tous les styles de la littérature en même temps, je l'ai lu en deux sessions de lectures massives. Je ne voulais pas le déposer.
Audio
Je ne pourrais passer sous silence l'excellent documentaire sur Les Cyniques, produit par la Première ChaÎne de Radio-Canada. Pour célébrer le 50e anniversaire du groupe, Les Cyniques : méchante révolution! est tout ce qu'on peut espérer d'un document historique sur le groupe. Vous saviez que j'étais resté un peu sur mon appétit avec l'épisode de Tout le monde en parlait. Je sais que l'histoire du groupe n'était pas la chose visée, mais je sentais vraiment qu'on était passé à côté d'une opportunité d'enfin donner l'attention méritée à ce groupe d'humoristes qui ont marqué la société québécoise. Bien, c'est fait et je tellement heureux. Je commence à accumuler les écoutes. Complet, avec extraits et archives audio, un travail de recherche et de production impeccable. Allez l'écouter en cliquant ici.
Trent Reznor a enfin repris en main les droits sur son premier album, et pour célébrer, nous avons enfin accès à une version claire et mordante de Pretty Hate Machine. L'album avait été mixé de façon désastreuse pour la version cd en magasin depuis une quinzaine d'années. Le son était plat, sans profondeur et laissait un arrière-goût fade. Comme c'était la seule version disponible, il fallait faire avec. Maintenant, c'est du passé. Nouveau look, nouveau son. Attention, ce ne sont pas des versions différentes, mais bien un ménage sonore et un mixage digne du sceau de qualité de Trent. Avec en petit bonus, la version d'une pièce de Queen, Get Down Make Love qui se trouvait sur le simple de Sin, depuis longtemps épuisé.
En petit bonus, je vous laisse une petite découverte qu'un ami m'a fait entendre. Jacob Moon, un interprète canadien, qui nous fait une version solo de Subdivisions de Rush. Impressionnant.
Vidéo
Bien sûr, j'ai écouté à plusieurs reprises le Blu-Ray de Scott Pilgrim vs The World. Mais je vous ai assez cassé les oreilles avec ça.
J'ai commencé la série Spartacus: Blood and Sand, mais pour l'instant, je suis un peu déçu. Un look qui essaie de copier le style de 300 de Zach Snyder et de la violence vraiment gratuite, des splashs de sang continuels et des seins nus à profusion pour nous faire oublier qu'on écoute quelque chose de médiocre. J'ai 25% de la série d'écouté et je vais voir où ça mène.
Comme maintenant, je réalise qu'au Québec, nous sommes capables de faire des séries qui n'ont rien à envier aux productions américaines, britanniques et canado-anglaises, je me suis tapé C.A. au complet. J'aime les coffrets de séries complètes, car les saisons passent beaucoup trop vite. Vraiment bien écrit (je sais qu'on dirait qu'un moment donné, c'était facile de blâmer Louis Morrisette pour tout ce qui allait mal dans le monde, mais il faut aussi donner le crédit quand il est dû), réalisé de mains d'experts (Podz, pour la majeure partie des saisons) et mettant en vedette Louis, Antoine Bertrand, Isabelle Blais et Sophie Bourgeois. J'ai reconnu des choses de ma vie, j'ai retrouvé des facettes de la vie de mes ami(e)s au travers. J'ai aimé voir évoluer les personnages de saison en saison. Les désirs, les actions, la suite logique des choses.
Métropolis est maintenant disponible dans sa version la plus complète depuis sa première projection en 1927. Même le documentaire est épique. La recherche des éléments perdus, les différentes versions, la boucherie faite pour la distribution aux États-Unis. Kino fait un travail de maître avec cette nouvelle édition définitive.
Aussi, pour ceux qui aiment l'animation, Fantasia et Fantasia 2000 sont arrivés sur Blu-Ray, avec un prime, le court métrage Destino, un projet de Dali Et Disney complété en 2003, mais entamé en 1945. Juste pour ça, ça vaut l'achat.
Jeux Vidéos
Je suis en train d'attaquer Epic Mickey sur la Wii. Un festin visuel pour les yeux et surtout, un voyage dans le temps qui m'a donné le goût de retomber dans mes trésors Disney (Oswald The Lucky Rabbit, Mickey Mouse en Noir et Blanc, etc...) La caméra peut causer des problèmes quand l'action devient trop intense et peut même causer quelques décès prématurés, mais, c'est pardonnable. J'adore la mécanique de peindre des éléments dans le décor et d'en effacer d'autres avec du solvant. Ça laisse place à des puzzles intéressants.
J'ai continué la série Assassin's Creed aussi. Dans Brotherhood, on explore une Rome complète et pratiquement historiquement précise. Assassiner de façon furetive n'a jamais été aussi amusant. En plus, entraîner son armée d'assassins, améliorer la condition de la ville avec des investissements, la panoplie de mission dans le passé et le présent m'a donné des nombreuses heures d'exploration. Et je ne me fatigue jamais de faire le Eagle Vision pour avoir une vue panoramique et ensuite effectuer un saut de l'ange dans une botte de foin, placée de façon stratégique.
Pac Man Championship Eedition Deluxe m'occupe aussi pleinement. Pour mon côté maniaque des jeux d'arcade rétro qui nécessitent les réflexes d'un lapin en panique, je suis comblé. Look néon rétro, musique techno rapide et possibilité de bouffer des chaînes de fantômes extrêmement longues. Quoi demander de plus!
Et finalement, Divers
J'ai eu un trip de fanboy typiquement stupide, mais il fallait que je le fasse. Un vin The Dark Side of The Moon est apparu à la SAQ. Un cabernet sauvignon de 2006, pas extraordinaire du tout, mais pour le principe, j'en ai acheté 2 bouteilles. Fort, et qui goûte un peu trop le chêne (traces de vanille mon oeil), je ne peux pas recommander ce vin à personne, sauf aux fanatiques collectionneurs qui veulent posséder une bouteille de vin avec la pochette de DSotM sur une bouteille.
Et si je calcule le travail, et les activités avec mes amis, le dernier mois a été bien occupé.
J'en saute aussi quelques bouts, j'ai réécouté bien des choses que je ne nomme pas. Juste les plus pertinentes.
Allez, je vous redonne votre liberté! Volez de vos ailes!
je vous reviens bientôt!
Prenez une pause-pipi, ça pourrait être long... Allez-y, je vais vous attendre. Je ne suis pas pressé.
Lectures
J'ai lu l'autobiographie du chanteur de Eels, Mark Oliver Everett ou E pour les intimes. Intitulé Things the GrandchildrenShould Know. Je savais qu'il n'avait pas eu une vie facile, mais à ce point. Disons que je comprends beaucoup mieux ce qui se cache derrière les paroles et la mélancolie de ses chansons.
J'ai aussi lu (et relu par amusement) Stuff White People Like. Vous pouvez aller voir le blogue ici. C'est vraiment amusant à quel point on peut être totalement prévisibles et cliché. Vous allez vous reconnaître et ça va vous faire peur.
Mon trésor de la dernière semaine est 75 Years of DC Comics chez Taschen. Une mine d'or d'informations dans un livre format géant de plus de 700 pages couleurs. Lignes de temps, historique de l'entreprise, biographie des éditeurs, artistes, scripteurs et personnes influentes. Et on arrête le tout en 2010. Complet, fascinant, une véritable bible. On ne laisse strictement rien de côté.
J'ai aussi lu un grand classique fortement recommandé par mon amie, Si par une nuit d'hiver un voyageur d'Italo Calvino. Je n'avais jamais lu un auteur écrire d'une façon aussi géniale. L'idée du roman gigogne, un roman dans un roman et en même temps, c'est nous, le lecteur, le personnage principal. Déroutant, touchant à tous les styles de la littérature en même temps, je l'ai lu en deux sessions de lectures massives. Je ne voulais pas le déposer.
Audio
Je ne pourrais passer sous silence l'excellent documentaire sur Les Cyniques, produit par la Première ChaÎne de Radio-Canada. Pour célébrer le 50e anniversaire du groupe, Les Cyniques : méchante révolution! est tout ce qu'on peut espérer d'un document historique sur le groupe. Vous saviez que j'étais resté un peu sur mon appétit avec l'épisode de Tout le monde en parlait. Je sais que l'histoire du groupe n'était pas la chose visée, mais je sentais vraiment qu'on était passé à côté d'une opportunité d'enfin donner l'attention méritée à ce groupe d'humoristes qui ont marqué la société québécoise. Bien, c'est fait et je tellement heureux. Je commence à accumuler les écoutes. Complet, avec extraits et archives audio, un travail de recherche et de production impeccable. Allez l'écouter en cliquant ici.
Trent Reznor a enfin repris en main les droits sur son premier album, et pour célébrer, nous avons enfin accès à une version claire et mordante de Pretty Hate Machine. L'album avait été mixé de façon désastreuse pour la version cd en magasin depuis une quinzaine d'années. Le son était plat, sans profondeur et laissait un arrière-goût fade. Comme c'était la seule version disponible, il fallait faire avec. Maintenant, c'est du passé. Nouveau look, nouveau son. Attention, ce ne sont pas des versions différentes, mais bien un ménage sonore et un mixage digne du sceau de qualité de Trent. Avec en petit bonus, la version d'une pièce de Queen, Get Down Make Love qui se trouvait sur le simple de Sin, depuis longtemps épuisé.
En petit bonus, je vous laisse une petite découverte qu'un ami m'a fait entendre. Jacob Moon, un interprète canadien, qui nous fait une version solo de Subdivisions de Rush. Impressionnant.
Vidéo
Bien sûr, j'ai écouté à plusieurs reprises le Blu-Ray de Scott Pilgrim vs The World. Mais je vous ai assez cassé les oreilles avec ça.
J'ai commencé la série Spartacus: Blood and Sand, mais pour l'instant, je suis un peu déçu. Un look qui essaie de copier le style de 300 de Zach Snyder et de la violence vraiment gratuite, des splashs de sang continuels et des seins nus à profusion pour nous faire oublier qu'on écoute quelque chose de médiocre. J'ai 25% de la série d'écouté et je vais voir où ça mène.
Comme maintenant, je réalise qu'au Québec, nous sommes capables de faire des séries qui n'ont rien à envier aux productions américaines, britanniques et canado-anglaises, je me suis tapé C.A. au complet. J'aime les coffrets de séries complètes, car les saisons passent beaucoup trop vite. Vraiment bien écrit (je sais qu'on dirait qu'un moment donné, c'était facile de blâmer Louis Morrisette pour tout ce qui allait mal dans le monde, mais il faut aussi donner le crédit quand il est dû), réalisé de mains d'experts (Podz, pour la majeure partie des saisons) et mettant en vedette Louis, Antoine Bertrand, Isabelle Blais et Sophie Bourgeois. J'ai reconnu des choses de ma vie, j'ai retrouvé des facettes de la vie de mes ami(e)s au travers. J'ai aimé voir évoluer les personnages de saison en saison. Les désirs, les actions, la suite logique des choses.
Métropolis est maintenant disponible dans sa version la plus complète depuis sa première projection en 1927. Même le documentaire est épique. La recherche des éléments perdus, les différentes versions, la boucherie faite pour la distribution aux États-Unis. Kino fait un travail de maître avec cette nouvelle édition définitive.
Aussi, pour ceux qui aiment l'animation, Fantasia et Fantasia 2000 sont arrivés sur Blu-Ray, avec un prime, le court métrage Destino, un projet de Dali Et Disney complété en 2003, mais entamé en 1945. Juste pour ça, ça vaut l'achat.
Jeux Vidéos
Je suis en train d'attaquer Epic Mickey sur la Wii. Un festin visuel pour les yeux et surtout, un voyage dans le temps qui m'a donné le goût de retomber dans mes trésors Disney (Oswald The Lucky Rabbit, Mickey Mouse en Noir et Blanc, etc...) La caméra peut causer des problèmes quand l'action devient trop intense et peut même causer quelques décès prématurés, mais, c'est pardonnable. J'adore la mécanique de peindre des éléments dans le décor et d'en effacer d'autres avec du solvant. Ça laisse place à des puzzles intéressants.
J'ai continué la série Assassin's Creed aussi. Dans Brotherhood, on explore une Rome complète et pratiquement historiquement précise. Assassiner de façon furetive n'a jamais été aussi amusant. En plus, entraîner son armée d'assassins, améliorer la condition de la ville avec des investissements, la panoplie de mission dans le passé et le présent m'a donné des nombreuses heures d'exploration. Et je ne me fatigue jamais de faire le Eagle Vision pour avoir une vue panoramique et ensuite effectuer un saut de l'ange dans une botte de foin, placée de façon stratégique.
Pac Man Championship Eedition Deluxe m'occupe aussi pleinement. Pour mon côté maniaque des jeux d'arcade rétro qui nécessitent les réflexes d'un lapin en panique, je suis comblé. Look néon rétro, musique techno rapide et possibilité de bouffer des chaînes de fantômes extrêmement longues. Quoi demander de plus!
Et finalement, Divers
J'ai eu un trip de fanboy typiquement stupide, mais il fallait que je le fasse. Un vin The Dark Side of The Moon est apparu à la SAQ. Un cabernet sauvignon de 2006, pas extraordinaire du tout, mais pour le principe, j'en ai acheté 2 bouteilles. Fort, et qui goûte un peu trop le chêne (traces de vanille mon oeil), je ne peux pas recommander ce vin à personne, sauf aux fanatiques collectionneurs qui veulent posséder une bouteille de vin avec la pochette de DSotM sur une bouteille.
Et si je calcule le travail, et les activités avec mes amis, le dernier mois a été bien occupé.
J'en saute aussi quelques bouts, j'ai réécouté bien des choses que je ne nomme pas. Juste les plus pertinentes.
Allez, je vous redonne votre liberté! Volez de vos ailes!
je vous reviens bientôt!