Les joies du sommeil en autobus

Non, ce n'est pas moi qui dort dans l'autobus.

Hier matin, il y avait un monsieur, peut-être quarantaine avancée, qui dormait d'une sommeil bien profond ce matin.
Je n'ai strictement rien contre ça, même que je ne comprends pas ceux qui peuvent dormir dans un espace aussi restreint, cahoteux et public comme ça, mais bon...

Le monsieur en question pétait en dormant. Je ne transformerai pas ce blogue en endroit scatologique, mais bon dieu, l'hiver dans l'autobus, les fenêtres sont fermées. Je suis trop jeune pour mourir d'une attaque chimique. Et l'hypocrisie polie des passagers (moi inclus) qui font comme si on entendait rien et qu'on ne respirait pas par la bouche.

Ce qui m'a fait peur par contre, c'est que si c'est ce qu'on devient quand on vieillit, qu'on pète sans discrimination, sans gène, sans problèmes et sans contrôle, je n'ai pas du tout hâte!

Heureusement que mon trajet d'autobus est court et que je n'étais pas assis à côté de lui, à Ground Zero!

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