Who the fuck is Katy Perry?

Je suis pas mal écoeuré de voir des putains de petites starlettes qui n'ont rien à offrir que des tounes gadgets-novelty-mode-gammick poches. Je pensais que le phénomène était mort avec T.A.t.U, les deux fausses-vraies-fausses lesbiennes russes qui n'avaient rien à offrir que des tounes dansantes minables et un faux mode de vie semi-imitable par des ados trop hormonals pour faire eux-mêmes leurs propres opinions.

Mais non, la gammick est de retour. La seule chose, une fois de plus, qui rend l'artiste intéressante, ce n'est pas la musique pop-bonbon, c'est le côté «ouuuuu, elle est wild et cochonne cette fille-là, elle embrasse des filles quand elle est sur le party».

Franchement, si t'as rien à offrir au monde d'intéressant ou de nouveau, reste chez-vous pis crisse moi patience. J'avais pas besoin de ça. Musicalement, c'est très moyen et ordinaire. On dirait de la vieille pop-dance britannique. Même pas original pour une américaine. Même pas de calibre Avril Lavigne, pis ça c'est juste une pâle copie d'Alanis dans ses jours revendicateurs avec un simili-edge punk.

Bon, je me calme maintenant... Pis après on se demande pourquoi je retourne toujours à mes vieux disques de Genesis, Pink Floyd, The Who et Nine Inch Nails...

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