Réalité virtuelle
C'est un sujet qui me fascine depuis toujours.
La réalité.
Si vous fouillez ce blogue (et je me demande pourquoi vous le feriez, mais bon, y'a des comportements qu'on qualifie d'inexplicable), vous verrez que c'est un thème qui revient dans quelques uns de mes textes.
Je pense que ma vie est constituée d'une base de réalisme obligatoire (respiration, nourriture, travail, impôts, etc...) et une partie imaginaire, complètement fabulée.
Je sais que ce n'est pas unique à moi. Même que je suis convaincu que tout le monde a en lui ou en elle une partie complètement inventée. Peu de gens vont oser l'admettre. Peur de se faire dire qu'ils sont immatures, de se faire regarder de travers, ou de se faire juger.
Ouuuuuuh. Se faire juger, la peur majeure de l'être humain.
Qu'est-ce qui cause ça?
Une déception par rapport à la vie quotidienne, de l'ennui, un besoin de s'échapper?
Qui sait.
Moi, j'ai passé une bonne partie de ma vie à m'imaginer des histoires, des passés, des futurs, des vies, des conversations, des talents, des pouvoirs. J'ai besoin de laisser mon imagination prendre le dessus.
Et les films, les livres, la télévision, les arts, tout sert. Je peux piger dans littéralement des tonnes de vies différentes et en prendre les parties que j'aime et les parties auxquelles je peux m'identifier.
Je réalise que je suis qui je suis par mon éducation, les valeurs apportées par mes parents, ma culture et mon entourage, mais aussi par les choses auxquelles j'ai développé un attachement au fil de ma vie.
Je suis littéralement, en plus d'avoir ma propre personnalité, un amalgame de différentes choses fictives et réelles. Des choses qui peuvent aller de la plus petite comme une expression, un tic, à plus significatif, comme des façons d'agir ou de penser.
C'est fou. Je suis le produit de tellement de choses différentes. Je ne peux même plus toutes les nommer. Certaines parties disparaissent pour laisser place à d'autre. Une forme d'évolution constante. Ce qui est parfait. Qui veut une vie monotone? Qui ne veut jamais évoluer?
Alors, je vais continuer à être un rêveur, à imaginer des choses qui arriveront ou n'arriveront pas.
Et c'est parfait ainsi. M'en remettre à seulement la réalité? Ce serait ennuyant à mourir.
La réalité.
Si vous fouillez ce blogue (et je me demande pourquoi vous le feriez, mais bon, y'a des comportements qu'on qualifie d'inexplicable), vous verrez que c'est un thème qui revient dans quelques uns de mes textes.
Je pense que ma vie est constituée d'une base de réalisme obligatoire (respiration, nourriture, travail, impôts, etc...) et une partie imaginaire, complètement fabulée.
Je sais que ce n'est pas unique à moi. Même que je suis convaincu que tout le monde a en lui ou en elle une partie complètement inventée. Peu de gens vont oser l'admettre. Peur de se faire dire qu'ils sont immatures, de se faire regarder de travers, ou de se faire juger.
Ouuuuuuh. Se faire juger, la peur majeure de l'être humain.
Qu'est-ce qui cause ça?
Une déception par rapport à la vie quotidienne, de l'ennui, un besoin de s'échapper?
Qui sait.
Moi, j'ai passé une bonne partie de ma vie à m'imaginer des histoires, des passés, des futurs, des vies, des conversations, des talents, des pouvoirs. J'ai besoin de laisser mon imagination prendre le dessus.
Et les films, les livres, la télévision, les arts, tout sert. Je peux piger dans littéralement des tonnes de vies différentes et en prendre les parties que j'aime et les parties auxquelles je peux m'identifier.
Je réalise que je suis qui je suis par mon éducation, les valeurs apportées par mes parents, ma culture et mon entourage, mais aussi par les choses auxquelles j'ai développé un attachement au fil de ma vie.
Je suis littéralement, en plus d'avoir ma propre personnalité, un amalgame de différentes choses fictives et réelles. Des choses qui peuvent aller de la plus petite comme une expression, un tic, à plus significatif, comme des façons d'agir ou de penser.
C'est fou. Je suis le produit de tellement de choses différentes. Je ne peux même plus toutes les nommer. Certaines parties disparaissent pour laisser place à d'autre. Une forme d'évolution constante. Ce qui est parfait. Qui veut une vie monotone? Qui ne veut jamais évoluer?
Alors, je vais continuer à être un rêveur, à imaginer des choses qui arriveront ou n'arriveront pas.
Et c'est parfait ainsi. M'en remettre à seulement la réalité? Ce serait ennuyant à mourir.