Un message qui ne vient pas du DGE
Voici venu les temps des suffraAAAAAAAAages!
Ha ha! Non, je ne vais pas vous accabler de ce supplice.
Je ne commencerai pas non plus à analyser les choix disponibles. Surtout qu'en fouillant le web pour mon district, j'ai pas vraiment trouvé d'accomplissements pour mon député inconnu.
...
Ah pis merde, un seul commentaire. Le Parti Conservateur du Québec. On s'entend. Déjà avec un nom comme ça, c'est pas gagnant. Mais le slogan, «Carrément mieux». Ouch, Huey Lewis and the News chantait It's hip to be square. Même combat.
À chaque élection, tout le monde commente et donne son grain de sel sur les différentes possibilités au matin du vote. On parle de voter stratégiquement, de voter avec son coeur, du message qu'on envoie aux partis quand on y va tout simplement pas, etc. Mais chaque personne parle comme si sa façon de voter était la bonne et la seule à considérer.
Voter, c'est personnel. On envoie un message direct aux élus et aussi à ceux qui ne le seront pas/plus.
Si un parti répond à ses attentes et ses besoins politiques et sociaux, tant mieux! Que cette personne sorte voter. Si cette même personne trouve que le choix est maigre et pas du tout satisfaisant, elle a le droit de le faire savoir en votant de façon stratégique ou en restant chez elle à regarder les chaînes essayer de gagner la course à qui dira en premier le résultat final du gouvernement minoritaire.
J'ai bien ri en voyant les publicités du DGE grunge-edgy pour plaire à une génération, que les études de marché en 2006 nommait blasée. C'est drôle, cette année, avec tout ce qui s'est passé et le grand succès du vote par anticipation, je ne pense pas que le vote restera à la maison.
Mais encore là, c'est la démocratie. On a le choix et on a le droit.
Je pense que le bas taux de participation des dernières élections était lui aussi un message en soi. Un moment donné, une population se fatigue de la même chanson et des guerres de clocher intestines au sein même de l'assemblée.
Chaque débat que j'ai écouté, j'ai personnellement l'impression de voir davantage la course au capital politique et au scandale que la course à l'avancement de la société et à avoir l'intérêt du public en tête. Mais bon, c'est mon opinion. Je pense qu'il faut regarder tout ça d'un oeil réveillé et allumé. (J'essaie de ne pas utiliser le terme lucide ici, il est un peu trop biaisé maintenant. Merci Lulu.)
Tout ça pour dire que peu importe votre décision le 4, faites ce qui est le plus près de vos convictions et de ce qui vous tient à coeur et on s'en fout totalement de ce que les autres peuvent bien dire. C'est votre choix et votre façon de vous exprimer.
Tant que la raison n'en est pas une de paresse. Là, vous êtes juste poche.
Ha ha! Non, je ne vais pas vous accabler de ce supplice.
Je ne commencerai pas non plus à analyser les choix disponibles. Surtout qu'en fouillant le web pour mon district, j'ai pas vraiment trouvé d'accomplissements pour mon député inconnu.
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Ah pis merde, un seul commentaire. Le Parti Conservateur du Québec. On s'entend. Déjà avec un nom comme ça, c'est pas gagnant. Mais le slogan, «Carrément mieux». Ouch, Huey Lewis and the News chantait It's hip to be square. Même combat.
À chaque élection, tout le monde commente et donne son grain de sel sur les différentes possibilités au matin du vote. On parle de voter stratégiquement, de voter avec son coeur, du message qu'on envoie aux partis quand on y va tout simplement pas, etc. Mais chaque personne parle comme si sa façon de voter était la bonne et la seule à considérer.
Voter, c'est personnel. On envoie un message direct aux élus et aussi à ceux qui ne le seront pas/plus.
Si un parti répond à ses attentes et ses besoins politiques et sociaux, tant mieux! Que cette personne sorte voter. Si cette même personne trouve que le choix est maigre et pas du tout satisfaisant, elle a le droit de le faire savoir en votant de façon stratégique ou en restant chez elle à regarder les chaînes essayer de gagner la course à qui dira en premier le résultat final du gouvernement minoritaire.
J'ai bien ri en voyant les publicités du DGE grunge-edgy pour plaire à une génération, que les études de marché en 2006 nommait blasée. C'est drôle, cette année, avec tout ce qui s'est passé et le grand succès du vote par anticipation, je ne pense pas que le vote restera à la maison.
Mais encore là, c'est la démocratie. On a le choix et on a le droit.
Je pense que le bas taux de participation des dernières élections était lui aussi un message en soi. Un moment donné, une population se fatigue de la même chanson et des guerres de clocher intestines au sein même de l'assemblée.
Chaque débat que j'ai écouté, j'ai personnellement l'impression de voir davantage la course au capital politique et au scandale que la course à l'avancement de la société et à avoir l'intérêt du public en tête. Mais bon, c'est mon opinion. Je pense qu'il faut regarder tout ça d'un oeil réveillé et allumé. (J'essaie de ne pas utiliser le terme lucide ici, il est un peu trop biaisé maintenant. Merci Lulu.)
Tout ça pour dire que peu importe votre décision le 4, faites ce qui est le plus près de vos convictions et de ce qui vous tient à coeur et on s'en fout totalement de ce que les autres peuvent bien dire. C'est votre choix et votre façon de vous exprimer.
Tant que la raison n'en est pas une de paresse. Là, vous êtes juste poche.