Le grand weekend déconnecté
La fin de semaine de la fête du travail vient de s'écouler (encore une fois de plus, trop rapidement).
J'en ai aussi profité pour ne pas utiliser aucun dispositif rattaché d'une façon quelconque à l'internet.
J'ai aidé une amie à réaménager son appartement, fait de la bouffe, du ménage, lu plusieurs trucs, été à une crémaillère.
Et je n'ai aucun symptômes de manque ou quoi que ce soit.
Je n'ai pas eu aucunes sueurs froides, ou manque de sommeil.
J'imagine que pour plusieurs personnes sur Facebook ou Twitter, ce que je viens de dire est l'équivalent de perdre un membre.
Mais toujours est-il que mon weekend unplugged a fait le plus grand bien.
Je n'ai même pas touché aux consoles de jeu, alors pour vous dire. Mes yeux se sentent bien aussi. On a beau avoir du anti-reflet, du anti-cataractes ou peu importe, passer ses journées devant un écran, c'est contre nature un tantinet.
Il n'y a vraiment pas juste ça dans la vie. J'aime encore plus communiquer avec mes amis au téléphone que de les texter, ou de lire leur statut sur Facebook.
Je reviens souvent sur ce sujet, mais c'est seulement que trop, c'est comme pas assez. Pis en plus, je sais qu'il y en a plusieurs qui s'enflent amplement l'égo et aiment (adorent) dire à qui veut bien l'entendre qu'ils tweetent, bloguent, sont sur Facebook, MySpace (s'il en reste encore quelques uns), ou sont sur les nouveaux sites sociaux qui sortent aux deux jours. Ils se valorisent avec ça.
Je trouve ça spécial. Avant, on était jugé par nos accomplissements, notre expérience. Aujourd'hui, on est jugé par notre nombre d'amis Facebook et le nombre de fois qu'on a tweeté ce matin.
Je ne ferai pas d'allusions stupides à la Matrice, on est plus en 1999. Mais débranchez-vous une fois de temps en temps.
Si y'a de quoi, ça va tellement vous traumatiser que lorsque vous serez rebranchés, vous allez encore plus l'apprécier.
Donc, gagnant-gagnant!
J'en ai aussi profité pour ne pas utiliser aucun dispositif rattaché d'une façon quelconque à l'internet.
J'ai aidé une amie à réaménager son appartement, fait de la bouffe, du ménage, lu plusieurs trucs, été à une crémaillère.
Et je n'ai aucun symptômes de manque ou quoi que ce soit.
Je n'ai pas eu aucunes sueurs froides, ou manque de sommeil.
J'imagine que pour plusieurs personnes sur Facebook ou Twitter, ce que je viens de dire est l'équivalent de perdre un membre.
Mais toujours est-il que mon weekend unplugged a fait le plus grand bien.
Je n'ai même pas touché aux consoles de jeu, alors pour vous dire. Mes yeux se sentent bien aussi. On a beau avoir du anti-reflet, du anti-cataractes ou peu importe, passer ses journées devant un écran, c'est contre nature un tantinet.
Il n'y a vraiment pas juste ça dans la vie. J'aime encore plus communiquer avec mes amis au téléphone que de les texter, ou de lire leur statut sur Facebook.
Je reviens souvent sur ce sujet, mais c'est seulement que trop, c'est comme pas assez. Pis en plus, je sais qu'il y en a plusieurs qui s'enflent amplement l'égo et aiment (adorent) dire à qui veut bien l'entendre qu'ils tweetent, bloguent, sont sur Facebook, MySpace (s'il en reste encore quelques uns), ou sont sur les nouveaux sites sociaux qui sortent aux deux jours. Ils se valorisent avec ça.
Je trouve ça spécial. Avant, on était jugé par nos accomplissements, notre expérience. Aujourd'hui, on est jugé par notre nombre d'amis Facebook et le nombre de fois qu'on a tweeté ce matin.
Je ne ferai pas d'allusions stupides à la Matrice, on est plus en 1999. Mais débranchez-vous une fois de temps en temps.
Si y'a de quoi, ça va tellement vous traumatiser que lorsque vous serez rebranchés, vous allez encore plus l'apprécier.
Donc, gagnant-gagnant!