Fever

Aujourd'hui, je me suis levé avec de la fièvre. J'ai dormi tout croche et j'ai fait des rêves tellement bizarres que Tim Burton pourrait être traumatisé. Alors, j'ai pas grand chose à dire ce matin. La radio me vomissait les mêmes sujets au visage (crise économique, poursuites, météo, Gino Chouinard, etc...) Le vent soufflait mes pellicules (Merci à Daniel Boucher).

Je suis comme dans un marasme philosophique. Mes diatribes me laissent insatisfait. C'est rendu trop facile.
It's like shooting fish in a barrel (voir épisode des Mythbusters).
Ce n'est plus un challenge de trouver ce qui cloche et en rire. Un enfant de 4 ans avec déficit d'attention durant une crise de sucre pourrait le faire. Ça ne prend plus d'effort tellement on est rendu dans le «deep shit».

Mais, je suis heureux aujourd'hui. La fièvre me donne un petit confort engourdi (hi hi) et j'ai presque l'illusion qu'on va s'en sortir.
Vous voyez, je suis positif des fois. Mais comme la fièvre, ça va finir par passer...

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