Oui, je sais, je suis fatigant...
Ok, je sais que je n'arrête pas de vous casser les oreilles avec The Dark Knight. J'ai toujours eu une fascination sur le personnage de Batman, surtout du Joker, mais aussi sur toute la collection de personnages secondaire. Je suis impressionné par la création d'un tel icône, d'un univers si crédible et aussi du côté tragique de chacun de ses personnages. Je n'ai aucune idée si Bob Kane savait ce qu'il relâchait sur le monde en 1952.
La dualité est un concept fort dans le monde de Batman. Batman lui-même est un être tourmenté et quasi-schizophrénique. Bruce Wayne est mort la nuit que ses parents sont morts devant ses yeux. Depuis ce temps, le vrai visage est Batman et le masque est Bruce Wayne. Une autre facette intéressante, c'est qu'il utilise sa tête pour affronter les problèmes. Il est aussi conscient qu'il doit marcher sur une ligne très fragile et fine. Il n'est pas si loin des criminels qu'il pourchasse. Mais il sait aussi que sa lutte et sa guerre qu'il mène en est une qu'il va perdre. Il ne pourra jamais être partout à la fois.
Chacun des criminels dans cet univers est aussi, à sa façon un miroir de Batman. Chaque criminel représente souvent un contraste à Batman, ou une réponse à l'un de ses traits. The Riddler représente le côté cérébral, Two-Face représente la dualité et la loi, Le Pingouin montre ce que Bruce aurait pû devenir s'il laissait la cupidité et sa richesse prendre le dessus, Deadshot qui est un tueur à gage professionnel est l'inverse de Batman qui lui déteste les armes à feu, etc...
Le Joker reste le plus intéressant. Il n'a pas de passé, rien pour vraiment expliquer ce qui l'a rendu où il est aujourd'hui. Je sais que Burton l'a mis comme l'assassin des parents de Bruce et que c'est Batman qui l'a semi-créé, mais c'est faux. C'était juste pour rendre une histoire plus complète au grand écran. En réalité, on ne sait rien sur lui. Et en plus, lui, non seulement franchit la ligne que Batman ne doit jamais traverser, mais en plus la traverse de si loin qu'il ne la voit même plus. Il n'a pas de baromètre moral et aime semer le chaos juste pour le simple plaisir de le faire. Il aime par dessus tout montrer à Batman qu'il peut échouer. Mais le côté tragique du Joker, c'est qu'il a besoin de Batman pour exister. De toute façon, un ne peut survivre sans l'autre. C'est une danse qui va perdurer.
Mais bon, j'arrête, je pourrais parler de ça toute la journée et analyser toute l'histoire et les périodes. Mais je ne veux pas vous lasser.
Plus que 24 heures...
La dualité est un concept fort dans le monde de Batman. Batman lui-même est un être tourmenté et quasi-schizophrénique. Bruce Wayne est mort la nuit que ses parents sont morts devant ses yeux. Depuis ce temps, le vrai visage est Batman et le masque est Bruce Wayne. Une autre facette intéressante, c'est qu'il utilise sa tête pour affronter les problèmes. Il est aussi conscient qu'il doit marcher sur une ligne très fragile et fine. Il n'est pas si loin des criminels qu'il pourchasse. Mais il sait aussi que sa lutte et sa guerre qu'il mène en est une qu'il va perdre. Il ne pourra jamais être partout à la fois.
Chacun des criminels dans cet univers est aussi, à sa façon un miroir de Batman. Chaque criminel représente souvent un contraste à Batman, ou une réponse à l'un de ses traits. The Riddler représente le côté cérébral, Two-Face représente la dualité et la loi, Le Pingouin montre ce que Bruce aurait pû devenir s'il laissait la cupidité et sa richesse prendre le dessus, Deadshot qui est un tueur à gage professionnel est l'inverse de Batman qui lui déteste les armes à feu, etc...
Le Joker reste le plus intéressant. Il n'a pas de passé, rien pour vraiment expliquer ce qui l'a rendu où il est aujourd'hui. Je sais que Burton l'a mis comme l'assassin des parents de Bruce et que c'est Batman qui l'a semi-créé, mais c'est faux. C'était juste pour rendre une histoire plus complète au grand écran. En réalité, on ne sait rien sur lui. Et en plus, lui, non seulement franchit la ligne que Batman ne doit jamais traverser, mais en plus la traverse de si loin qu'il ne la voit même plus. Il n'a pas de baromètre moral et aime semer le chaos juste pour le simple plaisir de le faire. Il aime par dessus tout montrer à Batman qu'il peut échouer. Mais le côté tragique du Joker, c'est qu'il a besoin de Batman pour exister. De toute façon, un ne peut survivre sans l'autre. C'est une danse qui va perdurer.
Mais bon, j'arrête, je pourrais parler de ça toute la journée et analyser toute l'histoire et les périodes. Mais je ne veux pas vous lasser.
Plus que 24 heures...