L'appel du dehors
Je commence à avoir hâte aux vacances. Les journées commencent à être exponentiellement plus longues (on dirait). Pas que je m'emmerde ou que je n'ai rien à faire, juste que tranquilement pas vite, les priorités commencent à se faire mettre de côté. Moins pressé de finir certaines choses, la motivation baisse un peu. Je regarde dehors et j'aimerais être en train de me promener en ville, manger une crème molle ou aller prendre une bonne pinte froide sur une terrasse, seul ou avec des amis, à ce stade-ci je m'en sacre pas mal. Même à 9h20 am, je ne dirais pas non à une bière froide. J'ai hâte au camping, aux feux de camp, à la bouffe mangée à l'extérieur. Parce que tout goûte meilleur à l'extérieur. (Et oui, vous pouvez donner un double sens à la dernière phrase, ça reste toujours vrai!)
C'est fou comment nos valeurs prennent une débarque monumentale quand ça nous tente plus.
À l'automne, je suis tout motivé par la rentrée, les nouveaux contrats, parler avec mes clients que j'adore. Se lever n'est pas difficile. Ces jours-ci non plus, ce n'est pas difficile de se lever, mais c'est une fois rendu devant la tâche à accomplir que ça se gâte un peu.
Mais bon, je me console en me disant que je ne suis pas seul à regarder dehors et à pousser un petit soupir d'envie.
J'y retourne, la job ne se fera pas toute seule. (N'empêche que c'est dans des journées comme ça, que j'aimerais la vision du futur de la sf nous promettait, que toute se fait par des robots ou par ordinateur. Les problèmes avec les trois lois, je m'en contrefiche, tant que je peux prendre mon petit thé glacé, je suis correct.)
C'est fou comment nos valeurs prennent une débarque monumentale quand ça nous tente plus.
À l'automne, je suis tout motivé par la rentrée, les nouveaux contrats, parler avec mes clients que j'adore. Se lever n'est pas difficile. Ces jours-ci non plus, ce n'est pas difficile de se lever, mais c'est une fois rendu devant la tâche à accomplir que ça se gâte un peu.
Mais bon, je me console en me disant que je ne suis pas seul à regarder dehors et à pousser un petit soupir d'envie.
J'y retourne, la job ne se fera pas toute seule. (N'empêche que c'est dans des journées comme ça, que j'aimerais la vision du futur de la sf nous promettait, que toute se fait par des robots ou par ordinateur. Les problèmes avec les trois lois, je m'en contrefiche, tant que je peux prendre mon petit thé glacé, je suis correct.)