Le long texte du lundi (je vous fait travailler, là, hein?)
Allo tout le monde!
Je suis enfin revenu. J'ai été malade comme un chien (et je ne sais toujours pas ce que ça veut dire, les chiens que je connais sont enjoués et un brin stupides, mais jamais malades...) jeudi et vendredi dernier. J'ai eu un joyeux épisode d'empoisonnement alimentaire qui m'a laissé un peu vidé (dans tous les sens du mot).
Je vais vous avouer quelque chose, je n'ai jamais attrapé la gastro de ma vie. J'ai eu des diarrhées mais rien qui dure plus qu'une journée. Et quand je vomi, habituellement, 1 fois et c'est fini. J'ai mon petit sentiment de bien-être et hop, on repart au galop!
Mais là! J'ai été réveillé à 4h du matin par la plus grosse crise de brûlements d'estomac que j'ai eu de ma vie. J'avais l'impression de tremper dans l'acide. J'avais des rots de reflux gastriques traumatisants. Mais comme je mange épicé et que d'habitude, je n'ai jamais de brûlures, je n'ai pas de Pepto ou de Tums à la maison. Alors, j'endure et je me rendors.
1 heure plus tard. 5h30 am.
La tête me tourne, j'ai chaud, et j'ai un mal de coeur ahurissant. Je suis à moitié endormi, je ne sais pas vraiment ce qui se passe, je me lève et tout de suite, je sens que je dois courir aux toilettes pour vomir. Ça urge. Le souper sort. Je retrouve une petite quiétude, alors je retourne me coucher. 30 minutes plus tard, la plus grosse crise de chiasse liquide que j'ai eue fait sa première apparition. Et ça presse aussi. À ce stade, je suis comme «quossé ça??». Pendant que je termine sur le throne, oh non! La tête tourne davantage et il faut que je vomisse à nouveau, mais je suis assis. Je me lève et dégueule dans une belle eau dégueulasse odoriférante. Là, ça file plus pantoute.
Ah oui, avertissement pour les coeurs sensibles, je parle de vomi et de diarrhée. Mieux vaut tard que jamais.
Et ça se répète aux demi-heures jusqu'à 10h30. Point où je crois vraiment être complètement à sec.
Je n'essaie pas de manger, je n'ai vraiment pas faim. Le mal de coeur s'en occupe. Mais j'essaie de boire de l'eau, au moins, pour me réhydrater. N'ayant jamais vraiment vécu ça, j'y vais par logique. Je vais donc me coucher dans le salon près de l'air climatisé, la chaleur me fait tourner la tête, alors je mets ça à fond et dors une heure environ. Ensuite viennent les vomissement de bile épaisse, d'acide gastriques qui m'irritent la gorge en remontant. Mais au moins, à ce stade-ci, je n'ai plus rien à évacuer par l'autre orifice.
J'appelle un de mes amis infirmiers et lui demande la meilleure méthode à suivre pour recommencer la flore intestinale et il me suggère des liquides avec des électrolytes (ou du sel). Alors, un bouillon de poulet s'impose! J'en fais un, mais 1 heure plus tard, il est ressorti. La journée passe, mais dans mon coma de fatigue, je ne le vois pas du tout. Je me reveille pour aller boire et me recouche. On est maintenant vendredi matin et depuis mercredi 19h, je n'ai rien mangé encore. Ok, j'ai des réserves qui me permettraient de survivre deux semaine, mais j'ai quand même mal au ventre. Je réussi à faire rentrer une banane (du potassium) et me recouche encore.
Finalement, à partir de là, tout est resté. J'ai mangé des soupes, du riz, des fruits faciles à digérer et resté loin du lait et autres sources de gras. Alors, tout va vraiment mieux. Ce qui m'a permit samedi d'aller passer une journée à effectuer des travaux dans mes nouveaux bureaux. Un peu chancelant, mais quand même.
Aujourd'hui, je suis en pleine forme et je suis vraiment reposé avec la cure de sommeil que j'ai eu au travers. Je n'ai pas vraiment le courage de me taper du McDo par contre. J'ai un beau petit système tout neuf, tout frais en moi, je ne vais pas le réencrasser tout de suite. Alors, je suis poissons, volaille et beaucoup de fruits et légumes. J'ai essayé une brioche à la canelle et j'ai eu l'impression d'y aller fort. Je me tiens tranquille.
À demain, pour la suite de mes mésaventures qui mènent au déménagement!
Je suis enfin revenu. J'ai été malade comme un chien (et je ne sais toujours pas ce que ça veut dire, les chiens que je connais sont enjoués et un brin stupides, mais jamais malades...) jeudi et vendredi dernier. J'ai eu un joyeux épisode d'empoisonnement alimentaire qui m'a laissé un peu vidé (dans tous les sens du mot).
Je vais vous avouer quelque chose, je n'ai jamais attrapé la gastro de ma vie. J'ai eu des diarrhées mais rien qui dure plus qu'une journée. Et quand je vomi, habituellement, 1 fois et c'est fini. J'ai mon petit sentiment de bien-être et hop, on repart au galop!
Mais là! J'ai été réveillé à 4h du matin par la plus grosse crise de brûlements d'estomac que j'ai eu de ma vie. J'avais l'impression de tremper dans l'acide. J'avais des rots de reflux gastriques traumatisants. Mais comme je mange épicé et que d'habitude, je n'ai jamais de brûlures, je n'ai pas de Pepto ou de Tums à la maison. Alors, j'endure et je me rendors.
1 heure plus tard. 5h30 am.
La tête me tourne, j'ai chaud, et j'ai un mal de coeur ahurissant. Je suis à moitié endormi, je ne sais pas vraiment ce qui se passe, je me lève et tout de suite, je sens que je dois courir aux toilettes pour vomir. Ça urge. Le souper sort. Je retrouve une petite quiétude, alors je retourne me coucher. 30 minutes plus tard, la plus grosse crise de chiasse liquide que j'ai eue fait sa première apparition. Et ça presse aussi. À ce stade, je suis comme «quossé ça??». Pendant que je termine sur le throne, oh non! La tête tourne davantage et il faut que je vomisse à nouveau, mais je suis assis. Je me lève et dégueule dans une belle eau dégueulasse odoriférante. Là, ça file plus pantoute.
Ah oui, avertissement pour les coeurs sensibles, je parle de vomi et de diarrhée. Mieux vaut tard que jamais.
Et ça se répète aux demi-heures jusqu'à 10h30. Point où je crois vraiment être complètement à sec.
Je n'essaie pas de manger, je n'ai vraiment pas faim. Le mal de coeur s'en occupe. Mais j'essaie de boire de l'eau, au moins, pour me réhydrater. N'ayant jamais vraiment vécu ça, j'y vais par logique. Je vais donc me coucher dans le salon près de l'air climatisé, la chaleur me fait tourner la tête, alors je mets ça à fond et dors une heure environ. Ensuite viennent les vomissement de bile épaisse, d'acide gastriques qui m'irritent la gorge en remontant. Mais au moins, à ce stade-ci, je n'ai plus rien à évacuer par l'autre orifice.
J'appelle un de mes amis infirmiers et lui demande la meilleure méthode à suivre pour recommencer la flore intestinale et il me suggère des liquides avec des électrolytes (ou du sel). Alors, un bouillon de poulet s'impose! J'en fais un, mais 1 heure plus tard, il est ressorti. La journée passe, mais dans mon coma de fatigue, je ne le vois pas du tout. Je me reveille pour aller boire et me recouche. On est maintenant vendredi matin et depuis mercredi 19h, je n'ai rien mangé encore. Ok, j'ai des réserves qui me permettraient de survivre deux semaine, mais j'ai quand même mal au ventre. Je réussi à faire rentrer une banane (du potassium) et me recouche encore.
Finalement, à partir de là, tout est resté. J'ai mangé des soupes, du riz, des fruits faciles à digérer et resté loin du lait et autres sources de gras. Alors, tout va vraiment mieux. Ce qui m'a permit samedi d'aller passer une journée à effectuer des travaux dans mes nouveaux bureaux. Un peu chancelant, mais quand même.
Aujourd'hui, je suis en pleine forme et je suis vraiment reposé avec la cure de sommeil que j'ai eu au travers. Je n'ai pas vraiment le courage de me taper du McDo par contre. J'ai un beau petit système tout neuf, tout frais en moi, je ne vais pas le réencrasser tout de suite. Alors, je suis poissons, volaille et beaucoup de fruits et légumes. J'ai essayé une brioche à la canelle et j'ai eu l'impression d'y aller fort. Je me tiens tranquille.
À demain, pour la suite de mes mésaventures qui mènent au déménagement!