Le retour au travail
Hé oui!
Toute bonne chose à une fin. Je ne parle pas de mes vacances, je parle de mon silence de la cybersphère.
Vu que mes batteries sont rechargées à pleine capacité, vous n'avez qu'à bien vous tenir, bande de vlimeux!
Et quoi de mieux pour commencer un beau lundi matin gris qu'une humidité relative pesante?
Quoi? Bin, je ne sais pas, je vous le demande. Mes questions ne sont pas toutes ironiques.
Il est supposé faire 36 degrés avec l'humidex, cet ami avec qui on essaie de garder nos distances.
Je suis rentré ce matin dans mon trou dans le bureau temporaire. (Temporaire encore pour quelques jours, les travaux sont preques finis!!!). Et après 5 minutes, l'eau me pissait dans la face. Non, je vais dire ça un peu plus poétique...
L'eau me ruisselait le long de mes tempes jusqu'à mon cou tel un ruisseau au printemps.
Pis je ne suis pas obèse. J'ai une quinzaine de lbs en trop mais je n'ai pas besoin qu'on me roule dans la farine pour trouver mes orifices. Quand je vais me baigner en mer, je ne risque pas le harpon. (Je sais, elle est vieille, mais c'était plus fort que moi).
Il n'y a pas de circulation d'air dans ce bureau. Même les ventilateurs abandonnent et baissent les hélices. Je sens que ça va être une longue journée. Mais je ne désespère pas. La vie est belle et toutes ces conneries, hein?
Je vais vous revenir au courant de la journée et ce soir, je termine le récit de vacances.
Welcome home! (sanitarium)
Toute bonne chose à une fin. Je ne parle pas de mes vacances, je parle de mon silence de la cybersphère.
Vu que mes batteries sont rechargées à pleine capacité, vous n'avez qu'à bien vous tenir, bande de vlimeux!
Et quoi de mieux pour commencer un beau lundi matin gris qu'une humidité relative pesante?
Quoi? Bin, je ne sais pas, je vous le demande. Mes questions ne sont pas toutes ironiques.
Il est supposé faire 36 degrés avec l'humidex, cet ami avec qui on essaie de garder nos distances.
Je suis rentré ce matin dans mon trou dans le bureau temporaire. (Temporaire encore pour quelques jours, les travaux sont preques finis!!!). Et après 5 minutes, l'eau me pissait dans la face. Non, je vais dire ça un peu plus poétique...
L'eau me ruisselait le long de mes tempes jusqu'à mon cou tel un ruisseau au printemps.
Pis je ne suis pas obèse. J'ai une quinzaine de lbs en trop mais je n'ai pas besoin qu'on me roule dans la farine pour trouver mes orifices. Quand je vais me baigner en mer, je ne risque pas le harpon. (Je sais, elle est vieille, mais c'était plus fort que moi).
Il n'y a pas de circulation d'air dans ce bureau. Même les ventilateurs abandonnent et baissent les hélices. Je sens que ça va être une longue journée. Mais je ne désespère pas. La vie est belle et toutes ces conneries, hein?
Je vais vous revenir au courant de la journée et ce soir, je termine le récit de vacances.
Welcome home! (sanitarium)