Le hockey
Non, ne vous faites pas d'idées. Je ne chiâlerai pas sur le sport.
J'ai un aveu à faire. Je ne trippe pas hockey. Je ne jouais pas quand j'étais jeune. Je ne regarde presque jamais de parties à la télé, je ne vais pas en voir (je n'en ai pas vu une depuis que je suis arrivé à Québec du temps des Nordiques). Je ne connais pas tous les noms, les résultats, les classements. Mais je ne déteste pas ça non plus. J'ai un petit intérêt quand les séries arrivent, mais pas assez pour m'installer devant la télé avec chips et bière pour endurer toute la partie. Je vais aller jeter un oeil, voir ou le pointage est rendu et retourner vaquer (j'adore ce verbe) à mes occupations.
Non, ma passion pour le hockey se repose sur les gens qui sont passionnés par le sport. J'adore entendre parler de hockey. Les commentaires, les animateurs radios, mes amis. J'aime écouter les discussions sur le sujet. Pour moi, rien n'est plus intéressant que d'entendre des gens passionnés parler de ce qu'ils aiment. Bien sûr, ça va pour tous les sujets. Mais cette passion est contagieuse. Peu importe le sujet, quand la personne qui parle est enthousiaste et fanatique, on dirait que ça se transmet.
Il y a tellement d'histoires intéressantes, des terminologies, des mésaventures, des personnages colorés, des héros. C'est presque épique. Il y a toute la facette affaires et économie, transactions et congédiements. Il y a la facette joueurs, leurs caractères, réputations, blessures, vies. Quelque chose que jamais Lance et Compte n'aurait pu imaginer en gratter la surface. C'est un univers en soi, il y a toujours quelque chose à apprendre. Un joueur peut être un dieu un jour et déchu le lendemain.
C'est une tragicomédie vivante. Une chose en constante évolution.
J'ai un aveu à faire. Je ne trippe pas hockey. Je ne jouais pas quand j'étais jeune. Je ne regarde presque jamais de parties à la télé, je ne vais pas en voir (je n'en ai pas vu une depuis que je suis arrivé à Québec du temps des Nordiques). Je ne connais pas tous les noms, les résultats, les classements. Mais je ne déteste pas ça non plus. J'ai un petit intérêt quand les séries arrivent, mais pas assez pour m'installer devant la télé avec chips et bière pour endurer toute la partie. Je vais aller jeter un oeil, voir ou le pointage est rendu et retourner vaquer (j'adore ce verbe) à mes occupations.
Non, ma passion pour le hockey se repose sur les gens qui sont passionnés par le sport. J'adore entendre parler de hockey. Les commentaires, les animateurs radios, mes amis. J'aime écouter les discussions sur le sujet. Pour moi, rien n'est plus intéressant que d'entendre des gens passionnés parler de ce qu'ils aiment. Bien sûr, ça va pour tous les sujets. Mais cette passion est contagieuse. Peu importe le sujet, quand la personne qui parle est enthousiaste et fanatique, on dirait que ça se transmet.
Il y a tellement d'histoires intéressantes, des terminologies, des mésaventures, des personnages colorés, des héros. C'est presque épique. Il y a toute la facette affaires et économie, transactions et congédiements. Il y a la facette joueurs, leurs caractères, réputations, blessures, vies. Quelque chose que jamais Lance et Compte n'aurait pu imaginer en gratter la surface. C'est un univers en soi, il y a toujours quelque chose à apprendre. Un joueur peut être un dieu un jour et déchu le lendemain.
C'est une tragicomédie vivante. Une chose en constante évolution.