Chuck, Saison 2


J'ai terminé la 2e saison de Chuck hier soir. Il me restait 3 épisodes. Au début, je me sentais productif et je voulais en écouter un seul et aller m'entraîner... Erreur de jugement. Alors, j'ai écouté jusqu'à la fin et ensuite je me suis retapé l'épisode en 3-D parce qu'il est vraiment bien fait.

Pour ceux qui ignorent l'existence de cette série (dont la 3e saison est en cours sur NBC et la 2e sur Z), Chuck est un employé du Buy More (genre de Future Shop/Best Buy), au département du Nerd Herd, escouade de service technique. Lorsqu'un ancien ami de l'université ressort du passé et lui envoie un courriel, il se fait télécharger tous les secrets gouvernementaux d'un ordinateur puissant appelé l'Intersect. Après avoir su que toutes les données de l'Intersect ont été transmises à Chuck, la CIA et le NSA envoie leurs agents Sarah Walker et John Casey pour récupérer les données.

Au fil des épisodes de la première saison, on découvre que les données storées dans le cerveau de Chuck le font «flasher» (type de flash de données qui le font figer quelques secondes), alors il devient l'Intersect officiel, et bien malgré lui, doit involontairement participer aux missions.

Et aussi, il doit gérer sa vie personnelle, il vit chez sa soeur qui sort avec Capitaine Awesome, son meilleur ami, ses collègues de travail. Sarah devient sa fausse blonde pour pouvoir garder un oeil sur lui, et John devient son voisin et collègue au Buy More.

La deuxième saison voit Chuck commencer à avoir un peu plus confiance en lui. Il a de l'expérience sur le terrain et est plus enthousiaste. Mais ça n'empêche pas qu'il veut se débarasser des données en lui pour retrouver sa vie normale. Vie qui est de plus en plus affectée par ses fonctions d'aide aux services secrets.

J'ai surtout aimé comment chacun des personnages a évolué de la 1re à la 2e saison. Même les personnages secondaire ont chacun leur chance de briller. Je pense que les scripteurs sont fiers de leurs créations et ça paraît. Personne ne se fond dans le décor. Quand on arrive à la fin de cette saison, on sent la progression et ça, j'aime ça. Je trouve toujours désolant les séries qui laissent leurs acteurs dans la 2e dimension, on a établi un cadre et on y reste. Ce genre de télé pouvait survivre dans les années 80, mais aujourd'hui, on veut de la qualité. Et Chuck ne déçoit pas.

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