Dilemne culinaire
Depuis deux jours, j'ai une rage de fondue. Je ne sais pas pourquoi, ça me prends comme ça des fois. Une journée, je vais avoir une rage de paté chinois, une autre, ça va être du macaroni au fromage. J'ai déjà eu aussi une envie quasi folle de crème soda avec de la crème glacée à la vanille. Non, je ne suis pas enceinte! Le chromosome Y me garantit le contraire.
Pour en revenir à mon point initial, j'ai une rage de fondue.
Le seul problème, c'est que je déteste manger de la fondue tout seul. Je trouve ça ennuyant, et un moment donné, je ressent un malaise. C'est un repas qui est fait pour être savouré en prenant son temps, en jasant, en étant entre amis ou en couple. Tout seul, on dirait que ça me surligne en jaune fluo que je suis en train de manger seul. Alors, j'ai tendance à lancer le plat de viande au complet dans le bouillon et le manger comme une assiette complete. Ça enlève un peu le goût de préparer le bouillon, de préparer les légumes et les pommes de terre au four.
En plus, je trouve le goût plus ordinaire quand c'est précipité.
Pis on dirait que le fait que j'en suis pleinement conscient, ça m'empêche de faire fi de tout ça et de profiter malgré tout d'un satisfaisant repas.
C'est comme une raclette, tu ne sors pas tout le matos juste pour nourrir une personne. C'est un repas social. Sinon, tu sacres tout dans un poêlon pis ça se termine là.
Des fois, je pense que je m'en fait avec des niaiseries.
Mais ces niaiseries là sont importantes...
Pour en revenir à mon point initial, j'ai une rage de fondue.
Le seul problème, c'est que je déteste manger de la fondue tout seul. Je trouve ça ennuyant, et un moment donné, je ressent un malaise. C'est un repas qui est fait pour être savouré en prenant son temps, en jasant, en étant entre amis ou en couple. Tout seul, on dirait que ça me surligne en jaune fluo que je suis en train de manger seul. Alors, j'ai tendance à lancer le plat de viande au complet dans le bouillon et le manger comme une assiette complete. Ça enlève un peu le goût de préparer le bouillon, de préparer les légumes et les pommes de terre au four.
En plus, je trouve le goût plus ordinaire quand c'est précipité.
Pis on dirait que le fait que j'en suis pleinement conscient, ça m'empêche de faire fi de tout ça et de profiter malgré tout d'un satisfaisant repas.
C'est comme une raclette, tu ne sors pas tout le matos juste pour nourrir une personne. C'est un repas social. Sinon, tu sacres tout dans un poêlon pis ça se termine là.
Des fois, je pense que je m'en fait avec des niaiseries.
Mais ces niaiseries là sont importantes...