Le grand titre qui ne dit rien de spécial au sujet du texte en dessous qui n'est qu'un ramassi d'idées disparates...

J'ai une panne d'inspiration.
Vous n'êtes pas ici pour me psychanaliser. Alors, pourquoi je passerais mon temps à vous raconter mes journées qui sont loin de sortir de l'ordinaire. La plus grande chose qui m'est arrivée hier, c'est d'avoir acheté Dante's Inferno pour PS3 et d'avoir eu des problèmes cocasses chez l'imprimeur.
Wooooooooouh! Hein? Sentez vous le vent dans mes cheveux?
Clignez pas des yeux, vous allez me manquer!
Alors, voici donc quelques opinions en vrac (vu que je n'ai rien qui mérite un texte complet) :
Les jeux olympiques s'en viennent. Pas vraiment d'intérêt.
Donald Sutherland qui fait les pubs à CTV ne réussit pas à faire grandir la flamme des jeux en moi. Même avec son sourire semi-sincère d'acteur à la fin de la pub. Pis c'est quoi le problème avec les chaînes de télé qui s'amusent à enregistrer des chansons de piètre qualité comme thème des olympiques par des artistes inconnus et méprisable?
Ça fait plusieurs films que j'achète et qui me donnent un disque contenant une copie numérique du film. Alors, je peux l'entrer dans mon Mac, rentrer un code de 15 chiffres/lettres et profiter d'un film portatif que je peux écouter n'importe où. Sur mon ordi, sur mon iPod, etc... Attendez, vous voulez me dire que mes films sont maintenant portables? Ok, parce que les VHS et DVD n'étaient pas une manière d'écouter des films n'importe où qui ne sont pas un cinéma? Fiou! Merci de me préciser. J'avais eu la fausse impression qu'un petit contenant de plastique de 7" x 5" était facile à transporter et à amener partout. Je suis soulagé de savoir que je peux prendre un film haute définition que je pourrais écouter sur n'importe quel écran et de pouvoir l'écouter sur un écran de 4 pouces avec un son minable. Merci!!!
Pour en finir avec le livre électronique. Je suis fatigué des Sony readers, des Kindle, toutes ces scraps qui affichent du texte en fond semi-gris avec zéro couleur. Qui veut vraiment apprécier un livre là-dessus? Un livre, c'est une expérience sensorielle. De la texture du papier à l'odeur des pages en passant par le visuel de la mise en page. C'est important, et par ce que j'ai vu de ces lecteurs, c'est pas fort. Et le pire, c'est que vous savez que de meilleures versions s'en viennent très bientôt, alors tous les poissons qui ont dépensé 500$ pour cette cochonnerie rétrograde vont se mordre les doigts d'envie très bientôt.
À presque chaque année depuis je ne sais plus combien de temps, on finit toujours par parler que Washington et la côte est américaine vont avoir une christie de grosse bordée de neige. Aéroports fermés, commerces fermés, habitants au beau fixe. C'est toujours le drame. Pis l'armée finit toujours par arriver (plus vite qu'en Nouvelle-Orléans, je vous ferais remarquer). Vous penseriez qu'ils prendraient la peine de s'acheter une pelle, juste au cas... Ou un sac d'abrasif, ou quelques chaînes pour les pneus... Prévoyez calvasse!
Savez-vous ce que je déteste? Les gens à qui on laisse des message et qui ne rappellent pas. Si on prend la peine de laisser un message, c'est que c'est important jusqu'à un certain degré. Si on ne voulait pas vous parler, on ne se serait pas donné la peine de pitonner 10 chiffres qui, par coïncidence, aboutissent sur votre petit appareil téléphonique. C'est de la simple courtoisie. et si ça ne vous tente pas, juste à le signifier.
Ce qui m'amène sur un autre point...
Pourquoi les gens ont si peur de dire que ça ne leur tente pas? C'est pas compliqué. On est pas une gang de bénévoles bonasses, on ne doit pas la charité à personne. On dirait que pour se donner bonne conscience, on est prêt à endurer des choses qu'on ne veut pas faire. C'est pas comme si on a vraiment un ciel à gagner. Mère Thérésa, c'est tellement les années 80. Un tout petit peu d'honnêteté. Si vous ne voulez pas voir quelqu'un, vous lui annoncez simplement. Pas de faux espoirs, pas d'égos brisés. Tout le monde en sort gagnant.
Bon, bien, finalement, j'avais de quoi parler aujourd'hui.
Comme quoi, un fois qu'on est lancé, c'est difficile d'arrêter.