Bernard Lachance
J'ai vu l'extrait, un peu triste, de Bernard Lachance à Oprah. Déjà que je n'apprécie pas Oprah tant que ça. Le genre de personne qui dicte comment vivre aux femmes au foyer américaines et qui a son club des anges, club de lecture et probablement plusieurs autres divisions de Harpo Enterprises. Sans compter toutes les fausses sessions de pleurnichage en direct pour montrer de l'émotion vive à la télévision.
Comme prévu, Lachance à pleurer, à dit qu'il avait pleuré dans sa chambre d'hôtel, à pleuré quand il l'ont surpris. Bref, c'était le festival de la braillerie.
Le problème, c'est que c'est la 2e fois qu'il fait le stunt publicitaire de remplir lui-même une salle. La première fois (du moins, je crois que c'était la première fois, je ne suit pas ses faits et gestes à la lettre), c'était au Québec. Parce qu'aucun promoteur ne voulait vendre son talent et/ou son show. Déjà là, c'est un message. Il avait réussi son pari.
Là, il s'est motivé à remplir une salle prestigieuse à Chicago. Autre pari qui ne peut plus faillir depuis cette apparition à Oprah. Comprenez-moi bien, je ne veux pas qu'il échoue. Je veux juste qu'il regarde la réalité en face. Il est un interprète assez ordinaire. Si on compare avec des chanteurs masculin québécois, il n'est pas de la trempe de Michel Rivard, Séguin, Fiori, même Garou, Lapointe et Wilfred sont hors de sa portée. J'irai même jusqu'à affirmer que les rappeurs québécois ont plus de prestance et de personnalité que lui.
Il est ce que les anglais appellent un «one trick pony». Il rempli des salles par lui-même. C'est bien beau le faire quelques fois, mais un moment donné, cette gimmick ne fonctionnera plus. Et par la suite, ce n'est pas son talent qui va les faire revenir. Je n'ai rien contre les personnes qui prennent leur carrière en main ou qui font preuve d'initiative, on en a justement pas assez de ces gens-là. Mais il faut aussi avoir le talent, montrer de la qualité. Ce qui lui manque amèrement.
Un quinze minutes de gloire, ça passe vite. Il faut en profiter quand ça passe mais il ne faut pas étirer la sauce et essayer de le faire durer 5 ans. Là, ça devient juste pitoyable et triste.
Comme prévu, Lachance à pleurer, à dit qu'il avait pleuré dans sa chambre d'hôtel, à pleuré quand il l'ont surpris. Bref, c'était le festival de la braillerie.
Le problème, c'est que c'est la 2e fois qu'il fait le stunt publicitaire de remplir lui-même une salle. La première fois (du moins, je crois que c'était la première fois, je ne suit pas ses faits et gestes à la lettre), c'était au Québec. Parce qu'aucun promoteur ne voulait vendre son talent et/ou son show. Déjà là, c'est un message. Il avait réussi son pari.
Là, il s'est motivé à remplir une salle prestigieuse à Chicago. Autre pari qui ne peut plus faillir depuis cette apparition à Oprah. Comprenez-moi bien, je ne veux pas qu'il échoue. Je veux juste qu'il regarde la réalité en face. Il est un interprète assez ordinaire. Si on compare avec des chanteurs masculin québécois, il n'est pas de la trempe de Michel Rivard, Séguin, Fiori, même Garou, Lapointe et Wilfred sont hors de sa portée. J'irai même jusqu'à affirmer que les rappeurs québécois ont plus de prestance et de personnalité que lui.
Il est ce que les anglais appellent un «one trick pony». Il rempli des salles par lui-même. C'est bien beau le faire quelques fois, mais un moment donné, cette gimmick ne fonctionnera plus. Et par la suite, ce n'est pas son talent qui va les faire revenir. Je n'ai rien contre les personnes qui prennent leur carrière en main ou qui font preuve d'initiative, on en a justement pas assez de ces gens-là. Mais il faut aussi avoir le talent, montrer de la qualité. Ce qui lui manque amèrement.
Un quinze minutes de gloire, ça passe vite. Il faut en profiter quand ça passe mais il ne faut pas étirer la sauce et essayer de le faire durer 5 ans. Là, ça devient juste pitoyable et triste.