La «Famille», c'est important!

Je viens de commencer la 4e saison des Sopranos. Je ne sais pas pourquoi j'ai attendu si longtemps avant de faire le saut. Je suis presque rendu fanatique. Ça fait deux semaines que j'ai commencé, je me couche à des heures non raisonnables parce que je veux toujours voir un épidose de plus.
J'ai toujours été un fan des séries HBO. Que ce soit Sex and the city, Tenacious D, Six feet Under, Rome ou Entourage, je dévore. J'aime la télévision sans compromis. Qu'on se restreint sous menace de censure, je n'ai jamais été un fan. HBO étant une chaîne payante sur le cable américain (et aussi canadien avec HBO Canada), peut se permettre de pousser les limites un peu.
Venant tout juste de sortir de Six Feet Under, la dynamique des Sopranos est rafraîchissante. Ça bouge et ça évolue à un très bon rythme. Et l'évolution des personnages est bien développée. J'aime ça, quand je commence à connaître les personnages, de les voir évoluer tout en restant eux-mêmes. Friends, comme sitcom, avait bien réussi aussi cette progression. Les Sopranos est une série à suivre du début, même si les épisodes ont une qualité autonome, on perd beaucoup si on écoute un épisode ici et là. J'avais écouté 2 ou 3 épisodes sur CTV et je n'avais pas vraiment tout bien compris.
Quand The Sopranos sera terminée, je pense que je vais tenter d'écouter Lost un peu, lui donner une chance malgré mes réserves. Mon rythme va aussi diminuer si le beau temps peut finir par arriver. Mais heureusement, tant qu'il y aura de la pluie, j'aurai l'air frais du New Jersey et la famille de Tony Soprano pour me distraire.