Le commun transport
Oui, oui, j'ai atteint un degré de perfection jusqu'ici inaccessible au commun des mortels.
Je rajoute maintenant «sensible à l'environnement» comme corde à mon arc. Oui, je sais, vous devez vous asseoir, vos jambes sont trop molles pour rester debout. J'ai l'habitude de faire cet effet là.
Bon, ok, j'arrête de déconner, mais oui, je suis dorénavant usager du Réseau de Transport de la Capitale. C'est plus facile pour moi. Je n'ai pas accès à une vignette de stationnement comme à l'ancien bureau, alors ça va revenir beaucoup moins cher qu'une passe de stationnement de la ville plus l'essence. Et le coût mensuel de la passe de bus s'annule avec ce que ça me coûtait d'essence, alors je tourne autour des mêmes frais.
Donc, mon premier voyage en tant qu'abonné s'est fait ce matin. (J'avais déjà pris le bus des tonnes de fois, mais de façon très ponctuelle et souvent ailleurs qu'à Québec.)
Vous le savez, je suis un observateur, et j'ai noté, ce matin, qu'il y a deux grandes catégories de personnes dans l'autobus. Des personnes qui voudraient parler aux autres et des personnes qui veulent qu'on les laisse tranquilles. La logique voudrait que les jaseux se placent entre eux, et que les indépendants de leurs côtés. Mais, vu que les indépendents prennent tous des sièges seuls, les jaseux n'ont donc aucun choix que de s'asseoir à côté de quelqu'un qui ne veux pas jaser. Donc, quelle est la solution? Je me suis fait dire que le code du sacrez-moi-la-paix par excellence, c'est des écouteurs. Mais, mon trajet de bus ne dure que 5 à 18 minutes, c'est pas assez long pour apprécier la radio ou de la musique. Ça ne me tente pas trop de traîner mon IPod à tous les jours.
Ah, les problèmes du petit peuple, hein? hi hi hi.
Les gens riches ont des problèmes d'hypothèques et de placement boursier, et le petit monde se demande quoi faire pour ne pas se faire achaler dans l'autobus. La lutte des classes qui continue, Marx serait fier!
Je rajoute maintenant «sensible à l'environnement» comme corde à mon arc. Oui, je sais, vous devez vous asseoir, vos jambes sont trop molles pour rester debout. J'ai l'habitude de faire cet effet là.
Bon, ok, j'arrête de déconner, mais oui, je suis dorénavant usager du Réseau de Transport de la Capitale. C'est plus facile pour moi. Je n'ai pas accès à une vignette de stationnement comme à l'ancien bureau, alors ça va revenir beaucoup moins cher qu'une passe de stationnement de la ville plus l'essence. Et le coût mensuel de la passe de bus s'annule avec ce que ça me coûtait d'essence, alors je tourne autour des mêmes frais.
Donc, mon premier voyage en tant qu'abonné s'est fait ce matin. (J'avais déjà pris le bus des tonnes de fois, mais de façon très ponctuelle et souvent ailleurs qu'à Québec.)
Vous le savez, je suis un observateur, et j'ai noté, ce matin, qu'il y a deux grandes catégories de personnes dans l'autobus. Des personnes qui voudraient parler aux autres et des personnes qui veulent qu'on les laisse tranquilles. La logique voudrait que les jaseux se placent entre eux, et que les indépendants de leurs côtés. Mais, vu que les indépendents prennent tous des sièges seuls, les jaseux n'ont donc aucun choix que de s'asseoir à côté de quelqu'un qui ne veux pas jaser. Donc, quelle est la solution? Je me suis fait dire que le code du sacrez-moi-la-paix par excellence, c'est des écouteurs. Mais, mon trajet de bus ne dure que 5 à 18 minutes, c'est pas assez long pour apprécier la radio ou de la musique. Ça ne me tente pas trop de traîner mon IPod à tous les jours.
Ah, les problèmes du petit peuple, hein? hi hi hi.
Les gens riches ont des problèmes d'hypothèques et de placement boursier, et le petit monde se demande quoi faire pour ne pas se faire achaler dans l'autobus. La lutte des classes qui continue, Marx serait fier!